Nucléaire : entre Sarko et Ségolène ????

Bonjour everybody
 
Je n’ai aucun don pour écrire en ce qui concerne la politique, je préfère donc vous communiquer une partie des infos que je reçois de mon réseau de contacts et de mes divers connexions….et oui, je suis branchée  !
 
J’ai toujours été, jusque là où ma mémoire vascillante m’entraîne contre le nucléaire et ses dérives….donc voilà la raison de cet article ! Je colle ci-dessous des informations importantes il me semble pour le prochain tour de vote ! Bonne méditation ! ET VIVE LES BOUGIES ….ET LES EOLIENNES…..
 
Satisfaction (provisoire) de "Sortir du nucléaire" qui appelle à ne pas voter pour M. Sarkozy

Ce jour, jeudi 26 avril 2007, date "anniversaire" de la catastrophe de Tchernobyl (1986), Mme Royal s’est engagée, en cas de victoire lors de l’élection présidentielle, à abroger le décret de création du réacteur nucléaire EPR. Ce décret a été pris par le gouvernement en catimini le 11 mars 2007, quelques jours à peine avant l’élection présidentielle.
 
Le Réseau "Sortir du nucléaire" attire l’attention sur la mobilisation populaire et associative contre l’EPR, qui a fortement marqué la campagne présidentielle :


– Le Collectif Stop-EPR, initié et animé par le Réseau  "Sortir du nucléaire", a rassemblé plus de 60 000 manifestants le 17 mars 2007  dans 5 villes (après avoir rassemblé plus de 30 000 manifestants à Cherbourg  le 15 avril 2006)
– Plus de 600 000 personnes ont participé à la campagne  STOP-Epr, s’engageant à ne pas voter pour un candidat favorable à l’EPR
–  Le Réseau "Sortir du nucléaire" a occupé un pylône 400 000 volts de la  centrale nucléaire de Flamanville les 14 et 15 avril 2007
– Greenpeace a  aussi mené des actions contre l’EPR à la centrale nucléaire de Belleville le  27 mars et à la centrale nucléaire de Flamanville ce 26 avril 2007.


Considérant que Mme Royal s’engage à abroger le décret de création du réacteur nucléaire EPR, le Réseau "Sortir du nucléaire" exprime sa satisfaction provisoire :

– un véritable débat est encore nécessaire et, s’il est mené correctement, il devra aboutir à la décision attendue par 78% des français (*) : l’annulation du projet de construction de l’EPR.
– par ailleurs, il est nécessaire que soient aussi abrogés les arrêtés d’autorisation des travaux et le permis de construire grâce auxquels EDF a commencé les travaux préparatoires sur le site de Flamanville en Basse-Normandie.
 
En conséquence, le Réseau "Sortir du nucléaire", tout en restant fidèle à sa ligne de conduite qui consiste à n’appeler à voter pour aucun candidat, reclasse Mme Royal dans la catégorie des candidats pour lesquels il est possible de voter (catégorie qui comprenait, pour le premier tour de l’élection présidentielle, Olivier Besancenot, José Bové, et Dominique Voynet).
 
Le Réseau "Sortir du nucléaire" maintient bien entendu son appel à ne pas voter pour M. Sarkozy, fidèle soutien de l’industrie nucléaire. Le Réseau "Sortir du nucléaire" rappelle enfin que l’annulation du projet EPR n’est qu’une étape et qu’il faut, au plus vite, sortir du nucléaire.

Le Réseau Sortir du nucléaire invitent les citoyens à agir sur le site internet STOP EPR pour demander à N. Sarkozy et S. Royal d’abandonner définitivement l’EPR :
http://www.stop-epr.org/spip.php?rubrique78

 

Nuage de Tchernobyl : Nicolas Sarkozy doit s’expliquer

A deux jours de la date anniversaire de la catastrophe de Tchernobyl (26 avril 1986), le Réseau "Sortir du nucléaire" demande à Nicolas Sarkozy de s’expliquer sur son (in)action à propos des conséquences du passage du nuage de Tchernobyl sur la France et sur sa part de responsabilité dans le mensonge d’Etat qui a été mis en oeuvre à cette occasion et par la suite.
 
En effet, en 1987, quelques mois à peine après la catastrophe de Tchernobyl et la contamination de la France par le nuage radioactif, M. Sarkozy était Chargé de mission pour la lutte contre les risques chimiques et radiologiques au ministère de l’Intérieur. (*)
 
Est-il possible qu’il n’ait pas eu à travailler sur les conséquences du passage du nuage de Tchernobyl sur la France ? Détectables encore aujourd’hui, la contamination du territoire était importante en 1987 (**). D’ailleurs, à cette époque, la France agissait au niveau européen pour empêcher que ne soient prises des décisions d’élimination des productions alimentaires contaminées (***). M. Sarkozy aurai-t-il participé à ces manoeuvres ? Quelles étaient exactement ses missions à cette époque ?
 
M. Sarkozy, qui prétend dire toutes les vérités (****) et briser tous les tabous, ne s’est-il pas de lui-même posé des questions ? N’a-t-il pas entendu parler du nuage de Tchernobyl ?
 
Plus tard, M. Sarkozy a occupé le poste de ministre de l’Intérieur de mai 2002 à mars 2004, puis de juin 2005 à mars 2007 : il a donc eu largement l’occasion de prendre connaissance des informations sur les conséquences du passage sur la France du nuage de Tchernobyl et de les rendre publiques. Il n’en a rien fait.
 
Une telle mise au point est d’autant plus nécessaire que M. Sarkozy s’est révélé être un infatigable promoteur de l’industrie nucléaire, que ce soit lors de son passage au ministère de l’économie (de mars à novembre 2004) ou lors de différentes interventions en tant que Président de l’UMP.
 
NB : Les associations membres du Réseau "Sortir du nucléaire" organisent ces jours-ci, un peu partout en France, des initiatives de commémoration de la catastrophe de Tchernobyl. Cf : http://groupes.sortirdunucleaire.org/spip.php?mot6 <http://groupes.sortirdunucleaire.org/spip.php?mot6>

 

les cinq candidats suivants qui se sont prononcés pour l’EPR ou ne remettent en cause – en aucune façon – le projet de construction de l’EPR :

– Marie-George Buffet (Parti Communiste)
– Arlette Laguiller (Lutte Ouvrière).
– Frédéric Nihous (Chasse Pêche Nature et Tradition)
– Nicolas Sarkozy (UMP)
– Gérard Schivardi (Parti des Travailleurs)

 

 

 

 

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