DEPITEE mais veux devenir député !!!

 

Hello friends,

Vu la période de turbulences que l’on traverse, on pourrait se demander s’il y a un pilote dans l’avion ??? Donc, pour vous aider à trouver le bon équipage, et pour éviter de nous retrouver, tous, comme les héros de Lost, juste avec nos yeux pour pleurer, abandonnés sur une île déserte, je vous donne à lire ces lectures si instructives ci-dessous…Vous verrez, aprés quelques lignes, vous sentirez le sang bien circulé dans vos veines, les b..les bien présentes dans la gorge et un défibrilateur de poche à portée de mains, au cas où !!!!! On est jamais trop prudent…Le choc pourrait être dur pour les petites gens, qui comme moaaa, ne touchent que le smic (salaire minimum interprofessionnel de croissance : croissance de quoi ???? croissance des emmerdes surtout !)….

EXTRAITS DU FIGARO

Assurance-chômage : le "régime spécial" des députés

 

L’affaire était passée presqu’inaperçue. C’est une brève dans le Canard Enchaîné du 7 février dernier qui le révélait : les députés avaient voté en toute discrétion un système leur permettant de prolonger l’indemnité parlementaire pour ceux d’entre eux qui ne seraient pas réélus aux législatives du 17 juin prochain. 
Avant cette réforme, les parlementaires français ne touchaient en effet leur 5.400 euros brut d’indemnité que durant six mois s’ils n’étaient pas réélus. La règle a été modifiée en 2003. Les députés ont créé une taxe de 0,5% sur leurs indemnités, destinée à financer une «caisse» qui prend en charge, de manière dégressive, le versement de l’indemnité au bout des six mois.  

  • 1.000 euros mensuels au bout de cinq ans

     

    L’échéance est donc portée à 5 ans, au bout desquels l’ancien parlementaire ne touche plus que 20% de son indemnité initiale, soit un peu plus de 1.000 euros par mois. «L’idée, c’est de permettre à des gens venant du privé, qui ont des difficultés, de pouvoir se réinsérer», expliquait fin février le premier questeur de l’Assemblée, Claude Gaillard, ajoutant : «C’est aussi une forme de solidarité des députés fonctionnaires, qui sont très majoritaires à l’égard de leurs collègues du privé».

     

    Un demandeur d’emploi lambda bénéficie dans le meilleur des cas d’une indemnisation de 23 mois, pendant lesquels il touche environ 90% de son salaire brut.

     

    «C’est une faiblesse française que de vouloir perpétuellement faire des privilèges pour les uns et donner des leçons aux autres», a estimé François Bayrou mardi sur RTL. Le candidat centriste a jugé que les députés avaient «manqué au caractère d’exemplarité» de leur fonction, et assuré que les parlementaires UDF s’étaient abstenus de voter cette loi. 

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